L’ILE DE VANCOUVER

DU 5 JUIN au 15 JUIN 2019

L’île aux ours : Vancouver Island n’a pas volé son surnom. Cette langue de terre grande comme la Belgique en abrite 12 000, la plus forte concentration de tout le Canada.

Apprivoisée par l’homme, jamais domestiquée, pas même depuis que les navigateurs britanniques du capitaine Cook l’ont découverte puis occupée, à partir de 1778, croyant poser le pied sur le continent. A l’époque, seuls les Indiens partageaient l’île avec sa faune exceptionnelle. Aujourd’hui, Blancs et « natifs » ont fumé le calumet de la paix mais gardent encore quelques distances.

Ici les montagnes aux sommets blancs jusqu’en été plongent dans des eaux cristallines, où la faune et la flore sont aussi riches sur terre que sous l’eau, où l’impénétrable forêt humide abrite les plus vieux cèdres rouges et pins de Douglas de la planète, plusieurs fois centenaires et démesurément hauts.

Certains bourgs accueillent des artistes branchés, qui préfèrent le calme insulaire à l’agitation continentale. D’autres, souvent constellés de ces immenses totems de bois sculptés qui rappellent l’attachement des Indiens d’origine aux esprits de la terre et des cieux, abritent les populations locales.

La moitié nord est plus déserte. Peu d’habitants, peu de routes, beaucoup de montagnes, de forêts et d’eau sous toutes les formes, dont des fjords qui s’enfoncent jusqu’au tréfonds de l’île

MARDI 4 JUIN 2019

Nous prenons le ferry à 11 h et arrivons à 12 h 30. Nous n’avons pas pu profiter du paysage, il faisait vraiment trop froid sur le pont.

Je vais tout de même sortir à l’approche des iles un peu avant d’arriver.

A l’heure précise nous descendons du bateau, et de suite nous prenons la première route qui longe la mer vers l’ouest, nous nous écartons de l’autoroute qui va jusqu’à Victoria à une vingtaine de kilomètres.

Il pleut à moitié, mais cela ne va pas nous empêcher d’aller visiter les Jardins BUTCHART

On nous donne un parapluie, il y a beaucoup de monde, encore une fois beaucoup d’Asiatiques.

Au Visitor Center, on peut voir dans un petit pot les fleurs que nous allons découvrir avec leur nom. Ce sont pour la plupart des fleurs que nous trouvons en Normandie à cette saison.

La roseraie est particulièrement magnifique à cette saison, même sous la pluie

Ainsi que les pivoines

D’accord on a les mêmes chez nous !!!

Sauf celle-ci qui vient de l’Himalaya

Et nous voilà dans le jardin japonais


Du jardin, on peut descendre dans le petit port, pour faire une promenade en bateau

Et maintenant le jardin Italien

 

Nous ne nous aventurerons pas plus loin sur l’Ile pour aujourd’hui. Dans le village, nous trouvons un stationnement pour la nuit, devant un terrain de sport et la bibliothèque où nous bénéficions de la Wifi.

Une petite précision au sujet de la Wifi, nous avons une carte Free, qu’Edwige nous a ramenée de France en février, et qui nous donne droit à 25 Giga, et aux communications gratuites avec la France. Nous en avions prise une en septembre mais elle ne durait que 4 mois. Celle-ci, je ne sais pas pourquoi est illimitée. Quelle chance nous n’avons plus besoin de chercher de la Wifi à travers le pays et nous n’utilisons pas toutes nos Giga, c’est Bernard qui est heureux.

MERCREDI – JEUDI

Visite de la ville de VICTORIA

Les Britanniques y ont bâti Victoria, la plus british des cités canadiennes, accessoirement capitale de la province. Victoria est une cité à taille humaine, loin du gigantisme des mégapoles états-uniennes comme Seattle.

Nous voulions aller sur le parking indiqué par IOVERLANDER en plein centre ville, sur le port, malheureusement il n’y a aucune place.

Nous partons faire un tour avec la voiture au Fisherman Wharf. Il s’agit d’un village de pêcheurs avec des maisons flottantes, certaines ont été transformées en restaurants. On y mangera un fish and chips pas excellent du tout.

A l’extrémité, on voit bien la ville.

Nous ferons une promenade panoramique au bord de la mer de 13 km : La Scénic Marine Drive (en voiture). On s’imagine en Bretagne

Nous retournons au parking, toujours pas de place. Nous irons dans le parc de Beacon Hill qui se trouve à 5 mn. Massifs de fleurs, petits lacs, sentiers agrémentent le parc. Il est payant dans la journée jusqu’à 17 h et on ne peut pas y rester plus de 3 h, mais rien n’est précisé pour la nuit.

Il y a un attroupement près d’un arbre où sont nichés des oiseaux et des dizaines de nids.

des hérons bleus, leur envergure est immense

Des fleurs qui ne vont certainement pas rester bien longtemps :

Le lendemain matin dès notre réveil nous allons sur le parking, il y a beaucoup de place. On paye 15 dollars pour 24 heures.

La vue est excellente et nous sommes en plein centre, seul le bruit des hydravions nous perturbe, mais ils ne volent pas la nuit.

Encore un bel hôtel, mais plus moderne que le Fairmont

Un bateau taxi (le petit)

Près du Visitor Center à quelques mètres du parking

On fait sa culture physique dans la rue !

Comme à Vancouver, l’hôtel Fairmont Empress

On rentre à l’intérieur, juste pour voir, c’est assez sombre. Il y a une superbe verrière.

De là, nous allons visiter le Parlement qui abrite  l’Assemblée législative de la Colombie Britannique

En ressortant une manifestation sur les marches

Après cette visite, nous nous baladons dans les rues aux alentours.

Une peinture sur le mur d’un immeuble de l’Ile

La cathédrale

Une autre église

Un magasin de cigares et sa vitrine

Un marchand de thé

L’hôtel de ville en réfection

L’entrée du quartier chinois

A 16 h, nous allons au Musée Royal mais juste pour aller au cinéma IMAX, voir la « Great Bear Rainforest », principalement la vie des ours sur l’Ile. Cela présente l’avantage de plonger non seulement dans le récit (que nous ne comprenons pas), mais aussi dans l’expérience visuelle. Les animaux sont si près de nous qu’on pourrait les toucher. C’était super.

C’est là que nous découvrons qu’il existe des ours blancs qui ne sont pas des ours polaires. On l’appelle l’ours Kermode, ou encore l’Ours Esprit. C’est un animal appartenant à l’espèce des ours noirs mais avec un pelage qui varie de blanc à jaune pâle. Il semble que quelques individus aient transmis cette anomalie à leurs descendants et qu’elle s’est répandue au fil des années. Il peut naître de deux ours blancs, d’un noir et d’un blanc ou encore de deux ours noirs si le gène récessif est présent chez ses deux parents. On estime leur nombre en Colombie-Britannique à quelques centaines. Il est assez petit. Il mesure entre 1 et 1,20 mètre pour un poids pouvant atteindre 135 kg pour un mâle. L’ours polaire peut atteindre 800 kg.

Photos de photos dans le hall du Musée.

Un beau bâtiment, pris à travers la route en roulant

Nous n’allons pas prendre la Highway mais longer la côte ouest jusqu’au milieu de l’Ile (après il y a un bras de mer et il n’y a pas de pont). Cela doit nous rallonger d’une centaine de kilomètres mais nous ne sommes plus à cela près.

La route serpente le long de la mer mais nous ne la voyons pas toujours, il n’y a pas de plage, par contre lorsqu’on quitte la côte c’est plus joli.

On vient de nous dire que cette année les feux avaient déjà commencés au Canada. Tous les ans, il y en a en Colombie Britannique.

On s’arrête le soir au bord du lac COWICHAN

Le seul chemin pour rejoindre le lac car il y a des maisons tout au bord.

DIMANCHE 19 JUIN

On va rejoindre DUCAN sur la côte Est, mais pas pour très longtemps car nous allons retourner à l’Ouest, pas de route directe.

DUNCAN. La tribu des Cowichan gère la ville et a construit d’immenses totems de bois sculptés qui rappellent l’attachement des Indiens d’origine aux esprits de la terre et des cieux.

 

Ensuite, CHEMAINUS, petit bourg de bûcherons qui, pour tenter de résister au déclin de l’industrie, a restauré les veilles maisons en bois et les gens ont peint sur les murs l’histoire de la ville, pour attirer les touristes. Et ça marche, il y a plein de monde.

La première image que l’on découvre est pour nous la plus belle

Le village produit sa propre monnaie à l’effigie des murs, mais on ne peut s’en servir qu’ici.

Nous sommes au bord de la mer et les troncs d’arbres sont en attente dans l’eau.

On se gare au parking

Les maisons ont aussi du charme, toutes en bois et bien entretenues

Nous avons des  nouvelles de nos amis, ils sont à TOFINO, nous partons directement pour aller les rejoindre et passer 2 jours avec eux. La route qui rejoint la côte Ouest est magnifique, nous nous arrêterons au retour.

TOFINO situé au bout de la route est un petit port de pêche très touristique, le site est beau mais la ville ne casse pas des briques. C’est très difficile de stationner, les V.R. sont interdits presque partout. Nous n’allons pas y rester.

Et comme nous sommes dans un parc national, on ne peut pas dormir n’importe où. Nous allons en forêt, à 2 kms de la route principale, il y là un panneau qui nous indique que nous ne sommes plus dans le parc. Le problème c’est que nous sommes à côté d’une décharge d’encombrants. Le soir il y a plusieurs campers.

LUNDI 10 JUIN

Nous ne nous attardons pas sur notre lieu de repos et partons nous promener sur la plage. La mer est basse et l’on découvre la vie dans toutes les petites mares.

Les moules de Californie sont bleues et énormes (elles peuvent atteindre 25 cm de long), elles sont tellement ancrées aux rochers que nous ne pouvons pas les en détacher, de toute façon, il n’est pas question que l’on en ramasse pour les manger.

Des étoiles de mer et des anémones vertes géantes. Des algues vertes microscopiques vivent dans leur tissu, c’est ce qui  donne leur couleur vert vif et leur procure une source de nourriture supplémentaire. Elles ressemblent à des fleurs mais ce sont des animaux fixés aux rochers.

C’est beau, on resterait des heures à les découvrir, mais Bernard commence à avoir faim il n’est pas loin de 15 h.

Sur ce côté, il n’y a que 2 villages, nous allons visiter le 2ème qui est beaucoup moins touristique

Repas du midi : saumon fumé et pâtes aux crustacés

UCLUELET

On stationne dans le village devant le port, en regardant le va-et-vient des voiliers, il y a une course autour de l’île et leur étape s’arrête ce soir ici.

Nous aurons droit également au ballet d’un lion de mer.

Mais aussi des aigles à tête blanche avec leurs juvéniles

et le voilà qui s’envole, il est déjà grand

François nous a fait une pizza, on papote sur le banc jusqu’à la tombée de la nuit.

MARDI

Bonne nuit, mais avant notre petit déjeuner, un policier vient nous dire que nous n’avions pas le droit de dormir ici, des voisins l’ont appelé, pourtant nous ne dérangeons personne, c’est bien la première fois que cela nous arrive, on ne pensait pas que c’était les Canadiens qui nous feraient un tour comme cela.

François s’explique avec le policier, il n’y a aucun panneau dans la ville qui nous dit que le stationnement est interdit, il lui répond qu’ils ne peuvent pas mettre des panneaux partout et qu’il est obligé de nous donner une amende. Il ne nous en fera qu’une et pour la modique somme de 20 dollars, soit 7 E par véhicule, c’est moins cher que d’aller au camping.

On déjeunera dehors sur notre table et ne partirons qu’une heure après pour aller au Visitor Center. Les enfants doivent remettre leur livret de ranger.

C’est un centre très accueillant, tant sur le point de la documentation que sur le site. Il y a à l’étage un grand salon avec vue sur la mer.


Une tête d’un orque

Et là, devinez, le squelette a vraiment la position de l’animal sur l’eau ?

Nous nous ferons encore une fois nos adieux, car ils restent sur l’île encore plusieurs jours.

Quant à nous, nous reprenons la seule route qui venait ici pour rejoindre la côte Est. Nous la ferons un peu plus lentement qu’à l’aller.

On s’arrête à midi au bord de la rivière KENNEDY. Je vais faire un petit tour dans la forêt et je découvre ce torrent. Je vais chercher Bernard pour qu’il s’en approche avec le camper et on s’installe au bord. Le chemin était très étroit et les arbres un peu bas, mais il n’y avait que 100 mètres.

L’endroit est splendide et l’eau transparente mais très froide a une couleur émeraude incroyable.

Ensuite on visite PORT ALBERNI, village de pêcheurs bien que la mer soit à 19 kms à vol d’oiseau. Le bras de la mer rentre vraiment dans les terres.

CATHEDRALE GROVRE, c’est une vrai cathédrale végétale, vestige de la forêt qui couvrait l’île il y a plus de 1.000 ans. On y découvre le plus vieux pin de Douglas datant de 800 ans, ainsi que des thuyas (des cèdres rouges), des sapins du Canada, le sol est recouvert de grandes fougères.

76 m de haut et 9 m de circonférence. 800 ans. Lorsque Christophe Colomb l’a découvert, en 1492, il avait déjà plus de 300 ans.

 

On rejoint à côte Est à QUALICUM BEACH, il est aux environs de 17 h, nous nous arrêterons ici pour la nuit.

Après le travail, les voitures arrivent, les gens se baignent et pique-nique, soit sur les cailloux au bord de l’eau, soit sur les tables aménagées le long de la promenade.

La nuit tombe après 10 h, et Bernard se couche un peu avant, je ne peux plus sortir du camper car lorsqu’il se couche il remonte l’escalier (de peur qu’on nous le barbotte), au début du voyage je pouvais !

J’ai beaucoup de regret car il y a un coucher de soleil magnifique.

Celles-là sont prises juste avant.

Et celles-là derrière la vitre plus tard

MERCREDI 12 JUIN

Il y a moins de monde sur la plage, nous n’allons partir qu’en fin de matinée.

A COURTENAY on va chez Walmart et je vais en profiter pour mettre à jour mon blog car depuis quelques jours nous n’avons plus la 3 G mais seulement 1 G et je ne peux pas ouvrir mon site, encore moins mettre des photos.

Nous longeons toujours la mer. C’est magnifique.

A 17 h, nous nous arrêtons à OYSTER BAY sur une petite air de repos.

La mer est juste derrière les sapins, on va y faire une petite balade à travers tous les arbres

C’est peut être ici qu’on ramasse les huitres,  nous n’en avons pas encore acheté, elles ne nous tentent pas vraiment.

Nous ne voyons jamais l’horizon de la mer, mais les montagnes enneigées sur le continent.

JEUDI 13 JUIN

Ce matin il fait toujours beau, mais l’eau est moins calme qu’hier au soir.

On traîne un peu et on discute avec des retraités anglais qui sont en voyage avec un van, ils parlent un peu le français. Je crois que c’est la première fois que nous voyons des anglais en camping-car.

On s’arrête à la marina de Campbell River et on y fait nos dernières courses avant de prendre le ferry.

Après avoir quittés la ville, nous avons cherché une route pour aller déjeuner près de la mer, mais c’est très difficile, les maisons nous empêchent d’y aller. Nous finirons sur une Area.

Il n’y a plus maintenant de Highayw mais une simple route. La forêt est plus dense encore qu’au sud, même si l’homme y pratique volontiers des coupes claires.

Ici, les hameaux côtiers abritent des pêcheurs, tandis que des bûcherons occupent les villages des terres. Certains ne sont accessibles que par l’eau ou les airs.

Nous allons faire un détour jusqu’à SAYWARD

et KELSEY BAY à l’embouchure, et là on découvre le travail des boucherons.

Les troncs sont poussés à l’eau pour être enclavés.  C’est sur l’île une technique courante de stockage du bois qui le préserve par immersion dans l’eau d’un commencement de pourriture, des attaques des champignons et ravageurs xylophages, le temps qu’ils soient mis en œuvre. La méthode permet aussi de dessécher les bois plus rapidement.

Nous sommes impressionnés par la grandeur du chantier, tant sur terre qu’en mer. Dans un certain périmètre, des troncs sont fixés solidement pour retenir l’ensemble.

Depuis peu, l’exploitation doit se faire en respectant le plus possible la nature. Les sols ne doivent pas être abîmés par des machines lourdes, les arbres doivent être mieux sélectionnés et les coupes doivent éviter de couper des arbres trop vieux. La biodiversité de la faune et de la flore doit toujours être mise en valeur par les coupes et non détruite. Dans certains secteurs, les arbres coupés vont même être récoltés en hélicoptère afin d’éviter de marquer le sol fragile. De plus, l’exploitation de la forêt doit aussi respecter les communautés autochtones. Mais, cela n’a pas toujours lieu, faute de contrôles.

A l’extrémité de la baie, il y a un tout petit port

L’entrée du port est fermée par 3 épaves.

On voit un petit bateau qui rentre au port et il est bien remué.

Aujourd’hui la mer est mauvaise, il y a du vent. On espère que samedi cela ne sera pas comme cela.

Et comme partout ici, il y a un camping pour les RV. C’est incroyable comme on en voit. Partout, en ville comme dans les endroits reculés. Ils ne sont pas tous particulièrement engageants,  sans commodités et relativement chers.

On continue à travers la forêt, c’est assez monotone (je vais m’endormir) pour aller bivouaquer au bord du Lac Nimpkish. C’est super, il fait un peu plus froid qu’hier mais le soleil est toujours là. Le chemin qui y mène est très étroit.

Lorsque nous arrivons il n’y a personne, mais dans la soirée arriveront plusieurs petites jeeps identiques (je pensais les prendre en photo mais le lendemain à notre réveil, il n’y a plus personne) qui s’installent juste à côté de nous. Ils dormiront soit dans des tentes  à même le sol, soit sur le toit de leur voiture. Ils vont faire un grand feu pour se réchauffer.

VENDREDI 14 JUIN

Avant de rejoindre ce soir PORT HARDY, on fait une petite incursion à TELEGRAPH COVE

Dans ce joli village isolé, les quelques maisons sur pilotis qui s’égrènent tout au long du quai,  servent aujourd’hui d’hébergements. Elles forment le village historique et sur chacune une plaque relate son histoire.

Il n’y a pas de rue, juste un grand parking et les quais en surplomb du port.

Le visitor center et le magasin général.

Sur le bateau nous avons rencontré un couple qui y était un peu après nous et sur le parking il y avait un ours noir. Nous nous avons eu la chance de voir un oiseau et un papillon.

sincèrement ils sont plus beaux qu’un ours !

A la sortie du village il y a encore un stockage de bois.

Toute l’activité humaine tourne autour des coupes de bois.

Aux alentours des usines, on a vu des dizaines des entonnoirs enfilés les uns sur les autres et à l’extrémité une petite boite blanche qui reçoit ces espèces de graines ou d’insectes ?

Nous n’en avons jamais vu ailleurs mais sur un kilomètre il y en a une dizaine de chaque côté de la route.

Et nous arrivons à destination

Ce n’est pas une très jolie ville, on y fera nos vidanges, le plein d’eau, de l’internet et dormirons au bord de l’eau avant de rejoindre le ferry, pour de nouvelles aventures (au froid).

 

Avez-vous trouver la réponse pour le squelette ?

Vous donnez votre langue au chat, le squelette de l’animal c’est une loutre marine. La loutre vit toujours sur le dos, elle ne va pas sur terre, à l’inverse des loutres que nous avions vues en Amazonie.

 

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